VAFC

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La ligue1 en direct

Brèves



21/10/11
Nam
namNam, dont la prolongation était déjà dans les tuyaux, a signé pour un an de plus. Il est lié avec le club jusqu'en 2013.

21/10/11
Saez
saezSaez, qui arrivait en fin de contrat au terme de la saison, a prolongé de deux ans, soit jusqu'en 2014.

09/09/11
Nicolas Isimat-Mirin
isimatCe jeudi, Nicolas Isimat-Mirin, l'international français Espoirs, a prolongé son contrat et se retrouve désormais lié au VAFC jusqu'au 30 juin 2014.


22/08/11
Arnaud Brocard
brochardLe gardien de but Arnaud Brocard (24 ans, 1,86 m) est attendu ce lundi à Valenciennes où il devrait s'engager pour une saison après avoir passé avec succès la visite médicale.

21/08/11
Gil
gilValenciennes s'est mis d'accord avec Cruzeiro dans la nuit de vendredi à hier pour le transfert de Carlos Gilberto Nascimento Silva, dit « Gil », 24 ans, solide défenseur central de 1,88 m .VA a dû mettre le prix, 3 millions d'euros pour un contrat de quatre ans.

19/08/11
Rudy Mater
materTouché contre Brest (ischios), Rudy Mater devrait être absent quinze jours a annoncé ce vendredi matin Daniel Sanchez.

19/08/11
Rudy Mater
materTouché contre Brest (ischios), Rudy Mater devrait être absent quinze jours a annoncé ce vendredi matin Daniel Sanchez.

25/07/11
Milan Bisevac
milan bisevacMilan Bisevac a paraphé lundi un contrat de trois ans en faveur du Paris Saint-Germain.

22/07/11
Rudy Mater
materEn discussion depuis plusieurs semaines, Rudy Mater, 30 ans, a ce vendredi matin officiellement prolongé son contrat avec VA de deux saisons (jusqu'en 2014).

01/07/11
F. Massampu
massampuFrancis Massampu a signé un premier contrat professionnel de 3 ans avec le VAFC. La saison dernière, le jeune attaquant (19 ans) a inscrit 10 buts avec la réserve valenciennoise en CFA 2 et fait trois apparitions en équipe première.

20/06/11
Nicolas Pallois
pallois nicolasNicolas Pallois, 23 ans, portera cette saison les couleurs de Laval en Ligue 2, où il est prêté pour un an sans option d'achat.

18/06/11
le Stade du Hainaut
hainautLe nouveau stade de Valenciennes, un magnifique chaudron de vingt-cinq mille places dans lequel évoluera désormais le VAFC, portera le nom de Stade du Hainaut.

17/06/11
Carlos Sanchez
sanchez carlos-copie-1Carlos Sanchez ne reprendra pas l’entraînement avec ses coéquipiers, fin juin. Le joueur du VAFC figure en effet dans la liste dévoilée par le sélectionneur de la Colombie pour la Copa America. Celle-ci se disputera du 1er au 24 juillet 2011 en Argentine.

15/06/11
Kenny Lala
lalaKenny Lala a signé cet après-midi son premier contrat professionnel d'une durée de quatre ans avec le VAFC. Défenseur, âgé de 19 ans, Kenny Lala évoluait la saison dernière au Paris FC (National).

14/06/11
Grégory Pujol
pujolGrégory Pujol va prolonger jusqu’en 2014 avec Valenciennes. Annocé à Saint-Etienne, il devrait finalement rester dans le Nord.


08/06/11
Daniel Sanchez
sanchez danielC'est fait ! Daniel Sanchez, 57 ans, devient le nouvel entraîneur du VAFC. Valenciennes et Tours ont trouvé un accord ce mercredi matin pour le rachat de la dernière année de contrat du technicien.


06/06/11
Lille - Valenciennes
http://ckorpal.free.fr/tableau/va-lille.jpgLes dirigeants lillois et valenciennois ont convenu d'un match amical le samedi 16 juillet à Cambrai, au stade de la Liberté.


04/06/11
Philippe Montanier
montanier-philippeVA et Philippe Montanier, c'est fini. Après une semaine de négociations et de tergiversations, la Real Sociedad a accepté la nuit dernière de payer 500 000 euros, la somme réclamée par Valenciennes


28 novembre 2006 2 28 /11 /novembre /2006 19:40
Grâce à un but inscrit dès la première minute du jeu, Valenciennes a assuré l’essentiel en renouant avec la victoire contre Nancy (1-0). et ce après quatre défaites d’affilée en championnat.
Une grande bouffée d’oxygène. Au coup de sifflet final, Valenciennes pouvait respirer un peu mieux. Le VAFC a renoué avec la victoire après quatre journées de disette. Mais c’est le souffle court et haletant que les supporters valenciennois ont assisté à la victoire des leurs face à Nancy, qui pouvait prétendre en cas de victoire à la deuxième place du classement.
A peine le temps de reprendre sa respiration après avoir pris place dans les travées de Nungesser que Steve Savidan profitait d’une erreur de relance nancéenne pour ouvrir son pied... et la marque, sur un tir contré qui prenait à contre-pied Olivier Sorin. Ce n’était que la première minute… Ensuite, ce but salvateur au final, est presque venu trop tôt pour les Valenciennois qui se sont trop rapidement mis à reculer pour éteindre toutes les étincelles lancées par Nancy, venu dans le Nord pour défendre un nouveau statut et continuer à jouer les troubles-fêtes en haut du classement. Car hormis une frappe trop enlevée de Paauwe à la demi-heure de jeu et un coup franc magistral de Savidan de 35 mètres qui atterrit sur la barre juste après la reprise, le public valenciennois a courbé l’échine en même temps que les joueurs pour sauvegarder le résultat.
« C’est la victoire de la solidarité, note l’entraîneur valenciennois Antoine Kombouaré. Ce soir (dimanche, ndlr), on a été en difficulté mais on s’est battu ». Car, paradoxalement, c’est quand les Valenciennois ont produit l’une des moins bonnes prestations de ces dernières semaines, au regard de ce qu’ils ont pu proposer à Lyon ou à Marseille, qu’ils ont su aller chercher une victoire très importante. « C’est la preuve que la récompense du travail arrive tout de même à un moment donné », enchaîne-t-il.
Avec cette victoire, Valenciennes, qui reste néanmoins quinzième, respire un peu mieux au classement en laissant à quatre longueurs son premier poursuivant, Monaco... Qui n’est autre que le prochain adversaire du VAFC. Inutile de dire qu’un bon résultat sur le rocher, donnerait une nouvelle bouffée d’oxygène aux Valenciennois.

FLORENT STEINLING
"Nordéclair.fr"
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26 novembre 2006 7 26 /11 /novembre /2006 22:05


Savidan (1ère) pour VAFC
Doumeng (13e)pour VAFC
Curbelo (19e), Brison (41e) pour Nancy
13 241 spectateurs

 but de Savidan


VA et Nungesser ont plié mais n’ont jamais rompu

C’est un grand ouf de soulagement, une victoire capitale pour les chiffres et surtout les esprits. Le coup de sifflet de M. Bré a libéré en une seconde l’angoisse qui avait étreint Nungesser et Antoine Kombouaré pendant plus d’une heure. VA vient de digérer une série noire de cinq défaites en six rencontres, dont quatre consécutives, en dominant Nancy (1-0) avec un tout petit but inscrit dès la première minute, puis défendu à la moelle.
L’histoire retiendra que c’est sur son match probablement le moins abouti des trois dernières semaines que Valenciennes a retrouvé le goût de la victoire. Brillants à Lyon et Marseille, où ils n’avaient gagné que des regrets, les joueurs d’Antoine Kombouaré ont hier soir fait parler le coeur. Il n’y eut pas de fulgurances mais du sacrifice.
En réalité, VA brilla quinze minutes, les premières, bien lancé par le but rapide de Diakhaté contre son camp, sur une frappe du gauche de Savidan (1e ). La réussite que VA a désespérément cherchée s’est pointée sans prévenir, et cela fait du bien. « Le facteur réussite a été de notre côté cette fois. Ce soir, on s’est arrachés et voilà, quand on ne lâche pas, qu’on est solidaires, on est récompensés », analysa d’ailleurs Kombouaré, qui a félicité aussi un public « énorme, qui porte une grand part dans la victoire ».
Il faut reconnaître que les tribunes ont eu du boulot. Parce que petit à petit, la peur de mal faire combinée à la volonté de défendre ce but d’avance ont poussé VA à reculer. Les milieux excentrés se sont éteints et c’est Nancy, avec une tête de Curbelo sur la transversale de Penneteau (30e ), qui passa près de l’égalisation.
Hormis une frappe terrible de Paauwe (31e), sorti quelques minutes plus tard pour un coup de coude de Macaluso, VA n’avait plus grand-chose à se mettre sous la dent. Après la pause, c’est Savidan, qui se débrouille souvent pour faire du bruit avec peu, qui a réveillé la tribune de Fer, en expédiant un coup franc monstrueux des 35 mètres sur la transversale de Sorin (49e). Les deux en tremblent encore.
Pablo Correa et Nancy avaient un classement à défendre, et le jeune coach lorrain lança le poison Dia dans la bataille. Avec le Nigérian Dosumnu, entré en première période, ils posèrent de multiples problèmes à la défense valenciennoise, souvent sur le fil, mais toujours couverte par un excellent Penneteau (67 e, 74e).
Avec Mater milieu droit, VA s’est donc arc-bouté et a accepté de subir. Curbelo (82e) et Dosunmu (84e) ne passèrent jamais très loin, et les Valenciennois ne répliquèrent plus que par à coups, avec Savidan, toujours (86e). « C’est normal d’avoir reculé, explique Kombouaré. On sortait de quatre défaites, on était fragiles et on a cherché à se rassurer. » Et, ce matin, avec 17 points, VA est sur la même ligne que Rennes, Paris et Auxerre. Pas mal, non ?

Antoine PLACER
"lavoixdessports"

Equipe du VAFC:
Penneteau - Mater (Kharroubi, 82e), Chelle, Rippert, Bezzaz - Doumeng, Paauwe (Saez, 35e) - Haddad (Traoré, 66e), Roudet - Dufresne - Savidan.

Equipe de NANCY:
Sorin - Chrétien, Macaluso, Diakhaté, Puygrenier, Biancalani - Duchemin (Béranguer, 72e), André Luiz (Dosunmu, 36e), B. Gavanon, Brison (Dia, 60e) -  Curbelo.

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24 novembre 2006 5 24 /11 /novembre /2006 19:35

      

LES VALENCIENNOIS AFFRONTENT NANCY DIMANCHE

Lancés sur une inquiétante série de quatre défaites consécutives, les Valenciennois retrouvent dimanche leur jardin de Nungesser après deux déplacements frustrants à Lyon et Marseille. Plus mauvaise équipe de Ligue 1 à l’extérieur (un point), les Nordistes se sentent plus à l’aise dans la chaleur de leur stade. Certes, la dernière rencontre s’était soldée par une large défaite contre Lille (0-3), mais les hommes d’Antoine Kombouaré se sentent plus en confiance chez eux. Et il leur en faudra dimanche pour venir à bout d’une équipe de Nancy, véritable révélation du début de saison. Quatrième du championnat, à égalité avec Lille et Lens, les Lorrains ne seront pas faciles à bouger. Pour éviter une nouvelle défaite qui pourrait les plonger dans la zone des relégables, les Valenciennois pourront s’appuyer sur les progrès entraperçus ces derniers temps : « Vu notre niveau de jeu, on ne méritait pas de perdre contre Lyon et Marseille, déclarait cette semaine Antoine Kombouaré, il faut qu’on poursuive dans cette voie, qu’on continue à travailler bien la semaine et les résultats suivront ». Rassuré par le retour de son goleador Steve Savidan, l’entraîneur valenciennois sera néanmoins une nouvelle fois privé de quatre éléments : Silvestri, Flachez et Bratu qui sont tous en phase de rééducation et Thomas Dossevi qui s’est blessé cette semaine aux ischio-jambiers. Du côté de Nancy qui jouait hier soir en Coupe de l’UEFA, seul le gardien titulaire Gennaro Bracigliano devrait manquer à l’appel.
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21 novembre 2006 2 21 /11 /novembre /2006 12:13
VA ne gagne toujours pas. Pis : VA s’enlise à force de perdre. Quatre défaites consécutives, ça « plombe » forcément. Mais, dans leur malheur, les Valenciennois ont quand même des motifs d’espoir. Leur jeu et leurs vertus morales sont des atouts. À eux, maintenant, de les exploiter.

Que peut bien valoir une logique sportive quand une équipe censée sortir d’un match avec un bénéfice arithmétique, se retrouve confrontée aux affres d’une défaite qui la fragilise un peu plus ? Pas grand-chose assurément. Voilà pourquoi Antoine Kombouaré n’y fit pas allusion, à Marseille, préférant parler de regrets et exprimer sa déception face au constat abrupt que ses hommes venaient de lui présenter : dix situations de déséquilibre, dix opportunités de nature à semer le doute dans le camp d’en face et aucun but.
D’une certaine façon, les Valenciennois se sont donc battus eux-mêmes et c’est bien cela qui irrite le plus. En même temps, ces occasions réconfortent par le simple fait qu’elles furent bien palpables. À l’heure où il est plus que tentant de se pencher sur le devenir de cette équipe vierge de tout gain depuis le 21 octobre, l’information n’est pas neutre.
Les faits. – En marquant un but plein de sang-froid, Mickaël Pagis a sorti l’OM de la spirale de la défaite (quatre de suite avant cet épisode) tout en poussant VA dans une situation embarrassante à défaut d’être franchement inquiétante. Il est clair qu’une telle accumulation de revers n’est jamais bonne. Outre la perte de contrôle mathématique, on doit tenir compte en pareil cas de l’aspect moral des choses.
Pour l’heure, l’érosion ne guette pas les Valenciennois à en juger par leur insistance dans un contexte délicat. Mais la vigilance s’impose.
La tête. – À voir cette équipe courir furieusement après l’égalisation, dans une fin de match devenue quasiment valenciennoise, on se dit que le moral des troupes ne souffre pas de cette mauvaise passe et que Dufresne et ses camarades ont la capacité de vite s’extraire de leur nasse.
Voilà une vraie et belle force à l’aube de matchs inévitablement fort sensibles.
Le terrain. – Cohérents, lucides et plutôt bien organisés, les Valenciennois ont fait bonne figure à Marseille, comme ils avaient déjà révélé à Lyon leur capacité à élever leur niveau de jeu et même à pousser un adversaire de référence dans ses derniers retranchements. L’analyse rassure forcément car elle est un indicateur fort.
Bien que privé de plusieurs joueurs importants, VA tient la route et, à vrai dire, rien n’indique que sa courbe de résultats actuelle puisse altérer ces précieux acquis. Dès lors, on peut imaginer que l’embellie est pour demain.
Et maintenant ? – Marseille, c’était hier. Désormais, c’est Nancy qui est en pole position dans les esprits valenciennois. Nancy qui, comme VA, n’a jamais gagné à l’extérieur malgré son émergence remarquée. Une belle occasion. Encore une !

 PIERRE DIÉVAL
"lavoixdessports.com"
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20 novembre 2006 1 20 /11 /novembre /2006 11:44


Pagis (61e)
Mater(25è),Chelle (73è)pour VAFC
M'Bami (25è), Pagis (43è) pour Marseille
46484 spectateurs
 
Il y avait sûrement beaucoup mieux à faire, mais sans but...

Marseille (envoyé spécial). – Les Valenciennois peuvent avoir des regrets. Ils sont en effet sortis hier soir du « Vélodrome  » battus, et forcément frustrés, sans avoir eu le sentiment d’avoir mérité cette sanction tant leur résistance fut belle. Face à un OM sans grande envergure en dépit d’accès de fièvre fréquents, l’équipe nordiste a su faire front et elle aurait même sûrement pu s’extraire du piège marseillais sans un déchet offensif aussi important. Rater des occasions à ce niveau induit toujours de lourdes menaces et les hommes d’Antoine Kombouaré en ont fait l’amère expérience.
Tout avait pourtant bien commencé pour eux. Il y avait une telle charge émotionnelle autour de ces retrouvailles particulières qu’on pouvait se demander si les « petits » Valenciennois, mus par leur seule dynamique de groupe, n’allaient pas subir les effets d’une pression d’ailleurs bien palpable. Jouer à Marseille n’est jamais simple. Alors, dans un contexte aussi sensible… Or, non seulement VA ne se laissa pas impressionner, réagissant lucidement face à un événement dont ses hommes savaient qu’ils ne seraient pas les figures de proue, mais encore sa stratégie d’approche laissa très vite apparaître une maîtrise précieuse.
En dépit de leurs attaques de balles plus franches, les Marseillais n’avaient pas tardé à mesurer leur niveau de résistance, butant sur l’organisation nordiste. Et puis, pour faire bonne mesure, les joueurs de Kombouaré avaient eu aussi le bon goût de ne pas se réfugier dans de sombres missions défensives sans lendemain. Si Penneteau s’illustra pendant cette période sur un tir d’Oruma (21e) et une demi-volée de Nasri (33e), les Valenciennois s’étaient chargés aussi à leur façon de développer des actions allant dans le sens de l’actualité (tête de Mater, 8e ; tir de Roudet, 10e ) avant que Paauwe ne se retrouve en position de marquer (44e).
Bref, VA était bien dans son match et rien ne semblait de nature à freiner ses intentions. Mais, en football, les équilibres sont toujours très fragiles. À l’heure de jeu, une inspiration de Niang suivie d’un relâchement défensif valenciennois bouscula la tendance, Pagis enfilant l’habit du tueur froid (1-0, 61 e).
Pour les Valenciennois, le coup était d’autant plus rude que Savidan, auparavant, avait placé une tête insidieuse (48e) et que plus tard, Hassli (72e) et Dufresne (77e, 90e) furent à deux doigts de semer le doute dans l’esprit de l’OM. Mais il en faut nécessairement plus en L1 pour vivre tranquille.
"lavoixdessports.com"

Equipe de Marseille:
Carrasso, Civeli, Taiwo, Zubar, Beye, Oruma, M'Bami, Deruda (Bamogo59è), Nasri (Valbuena83è), Pagis, Niang(Olembé76è).

Equipe de VAFC:
Penneteau, Rippert, Chelle, Mater, Bourgeois(Doumeng 83è), Paauwe, Roudet, Bezzaz(Haddad 83è), Saez (Hassli70è), Savidan, Dufresne.

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Published by vafc - dans saison 2006-2007
18 novembre 2006 6 18 /11 /novembre /2006 20:20


J – 1 Les supporteurs de VA ont toujours des bleus au coeur
Aucun d’eux ne se dit rancunier à l’égard des Marseillais et de l’OM, mais les supporteurs valenciennois sont partagés : les plus anciens souhaitent tourner la page et oublier mai 1993 tandis que ceux qui ont vécu les vexations des années qui ont suivi l’affaire évoquent toujours un certain malaise.
Pourtant, demain, tous ne souhaitent qu’une chose : voir un bon match de foot dans une ambiance sereine...

Cent vingt supporteurs valenciennois rallieront la cité phocéenne demain, en bus. « Il y en aurait eu plus si on avait joué le samedi !», répond Stéphane, membre actif des Ultra Roisters. Tout jeune, il n’était pas à Nungesser ce jour de mai 1993, désormais classé parmi les archives peu glorieuses du football français. Mais si Stéphane souhaite que tout se passe au mieux au stade Vélodrome, il sait de l’affaire ce que lui en ont dit les anciens, « ceux de la tribune de fer dont beaucoup ont connu la descente en CFA ».

Insultes
Une descente provoquée par ce tournant dans la vie des deux clubs ? « Pas seulement, mais c’est le début de tout », répond le jeune homme. Un sentiment que d’autres partagent plus ou moins, même si beaucoup savourent plus le retour de VA en Ligue 1 qu’ils ne ressassent le passé. Mais force est de constater que l’OM cristallise encore des ressentiments : la saison dernière, « Marseille on arrive » fut l’un des slogans de Nungesser... Pourtant M. Tantot, président anzinois de la plus ancienne section de supporteurs de VA se veut apaisant : « Tout le monde a souffert de ce qui s’est passé en 1993, à VA comme partout en France. Le foot n’en est pas sorti grandi. Mais aujourd’hui, je crois que la majorité des gens souhaitent tirer un trait en espérant que cela se passe bien. Maintenant, des c... il y en a à Valenciennes et à Marseille ! » Lors de la réunion mensuelle avec les dirigeants du VAFC, lundi, les sections de supporteurs ont, bien entendu, évoqué le déplacement à Marseille. Et la sécurité. Car beaucoup se souviennent de ces matchs en CFA ou en National dans un coin ou l’autre de France – et même dans le Nord - Pas-de-Calais – durant lesquels les supporteurs de VA et les joueurs étaient insultés. Simplement parce qu’ils étaient Valenciennois. Beaucoup n’ont pas compris pourquoi ces propos parfois haineux s’abattaient ainsi sur eux, parfois des années après. Mais aujourd’hui, unanimement, les fidèles valenciennois veulent soutenir un VA conquérant à Marseille autant qu’à Lyon.
 MARTINE KACZMAREK
"lavoixdessports.com"

Groupe du VAFC:
Grondin, Penneteau - Chelle, Rippert, Mater, Liron, Paauwe, M. Traoré – Kharroubi, Bezzaz, Bourgeois, Doumeng, Roudet, Haddad, Saez - Savidan, Hassli, Dufresne.

Groupe de l' OM:
Carrasso, Hamel - Beye, Zubar, Cesar, Bocaly, Taiwo, Civelli - Oruma, Nasri, M’Bami, Valbuena, Olembe, Deruda - Maoulida, Niang, Bamogo, Pagis

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Published by vafc - dans saison 2006-2007
17 novembre 2006 5 17 /11 /novembre /2006 11:11
MARSEILLE - VALENCIENNES, J – 2 Treize ans après, les deux équipes se retrouventdimanche, pour la première fois, au stade Vélodrome, dans un match à la sonorité particulière...
Ce n’est pas tout à fait le VA - OM de « l’affaire », puisque les deux équipes se retrouveront dimanche au stade Vélodrome de Marseille. Ce sera donc un OM - VA. Mais treize ans après, ce match sonnera tout de même d’une manière très particulière à certaines oreilles...

Sur le terrain, il ne faudra pas chercher les revanchards. Le 20 mai 1993, jour du match par lequel le scandale est arrivé, Cédric Carrasso, le gardien marseillais, avait onze ans. C’est à peu de choses près le même cas pour les Valenciennois José Saez ou Sébastien Roudet, par exemple.
En cherchant bien, on peut retrouver Jean-Philippe Durand, milieu de terrain de l’OM et de l’équipe de France, à l’époque, qui est aujourd’hui responsable de la cellule de recrutement à Marseille, mais c’est bien tout.
Alors, tant à Valenciennes qu’à Marseille, on dit bien fort que « ce match n’a rien de particulier », et il ne fait aucun doute que ce sera vrai dès que le coup d’envoi en aura été donné.
Avant cela, on ne pourra pas empêcher les supporteurs des deux camps de se souvenir de ce match de 1993, qui ne devait rien avoir de particulier, lui non plus, mais à cause duquel tout le football français a vacillé sur ses bases pendant quelques mois.

Dérisoire
Parce que Jean-Jacques Eydelie a transmis, la veille du match, sur le parking d’un hôtel, une enveloppe contenant 250 000 francs à l’épouse de Christophe Robert ; parce que Jacques Glassmann n’a pas accepté le marché indigne de la corruption ; parce que Boro Primorac, son entraîneur, est aussi un type honnête qu’on n’achète pas d’un boniment de coin de table ; pour toutes ces raisons, la France du football – et même au-delà – s’est emballée pour ce qui restera comme l’une des pages les plus sombres et les plus ridicules de son histoire.
Car enfin, c’est bien pour un peu plus de 80 000 F chacun que deux joueurs étaient prêts à trahir. Et la dérisoire tranquillité avec laquelle cette affaire a été montée, de quelques coups de fils rapides entre deux hôtels, laisse encore aujourd’hui le doute. Combien de fois, avant celle-là, d’autres enveloppes sont-elles passées de mains en mains ?...
Celle-là, retrouvée par la police dans un jardin du Périgord, cachée sous quelques poignées de terre par un Christophe Robert soudain aux abois, a marqué le déclin de deux clubs qui n’avaient pourtant pas grand chose en commun.
Valenciennes venait d’accéder à la première division et n’a fait qu’y passer. Après ce match-là, son effectif amputé, l’équipe de Boro Primorac n’a plus jamais été la même et on dit encore aujourd’hui, du côté de Nungesser, que sans cette affaire, l’USVA serait encore bien vivante.
L’OM, en revanche, était au sommet de sa gloire. Quelques jours plus tard, joyau de l’ère clinquante de Bernard Tapie, la Coupe d’Europe des clubs champions lui revenait face au prestigieux Milan AC. On a encore les images en mémoire.

Jusqu’à la Santé
Ce qu’on n’a pas vu, ce jour-là, ce sont les larmes de Jean-Pierre Bernès, qui savait déjà que la justice s’activait en coulisse. Il ne connaissait pas encore le juge Beffy ni le procureur de Montgolfier, mais il avait bien senti le danger.
« Je ne veux pas payer pour tout le monde », a-t-il glissé ce soir-là aux oreilles de Tapie. Il a juste payé sa part. Et le patron de l’OM n’a pas échappé à la sienne. C’est bien cette affaire-là qui l’a conduit jusqu’à la prison de la Santé, lui l’ancien ministre de François Mitterrand qui n’avait pas hésité à emmener dans sa galère Jacques Mellick, autre ex-ministre de la République. Sombre et ridicule, on vous dit...

PAR ÉRIC DUSSART
 "lavoixdessports.com "
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16 novembre 2006 4 16 /11 /novembre /2006 19:59
Le plus drôle, dans l’affaire, c’est qu’Éric de Montgolfier sait parfaitement qu’on l’avait nommé à Valenciennes, en novembre 1992, pour le tenir éloigné des dossiers trop brûlants. « À Chambéry, j’avais dérangé », dit-il. D’ailleurs, à son arrivée ici, son prédécesseur l’a accueilli d’une phrase merveilleuse : « Vous verrez, ici, il ne se passe jamais rien… »
 Il n’y a donc que quelques mois qu’il est en poste lorsqu’un matin du mois de mai 1993 – « En me rasant », précise-t-il – le procureur de la République apprend par la radio « les rumeurs qui couraient autour de ce match perdu par l’équipe de Valenciennes  ».
À l’époque, c’est tout juste s’il sait qu’il y a une équipe de football à Valenciennes. Il est tellement étranger au ballon rond que lors du procès, alors qu’il avait oublié le micro-cravate qu’il portait pour la sonorisation de la salle vidéo, on l’entendra confier à son greffier : « Dans ce domaine, je me savais nul, mais pas à ce point ! » En revanche, il n’a pas mis longtemps à comprendre que l’indélicat parfum de la corruption flottait autour de tout cela, et dès le lendemain, il ouvrait une information judiciaire.

L’entrée de Tapie

Il faut voir Éric de Montgolfier, encore aujourd’hui, raconter, la lippe gourmande et l’oeil qui frise, sa journée du 23 juin. « Une journée bien remplie », comme il l’écrit dans le livre qu’il vient de publier (1).
D’abord, c’est ce jour-là que Boro Primorac est venu le voir pour raconter comment Bernard Tapie l’avait reçu dans ses locaux parisiens. « Cela ressemblait fort à une subornation de témoin. » Ensuite, les enquêteurs lui apprennent qu’une enveloppe contenant 250 000 F a été retrouvée enterrée dans le jardin de la tante de Christophe Robert. Puis, en fin de journée, « Bien à sa manière, tonitruante », l’entrée en lice de Bernard Tapie, qui vient le voir dans son bureau du palais de justice, alors que… « il ne pouvait pas savoir ce que nous savions.
 » Comme une évidence, il a ce mot aujourd’hui : « Il est entré comme un taureau dans l’arène… » M. De Montgolfier raconte comment il l’a fait asseoir dans un fauteuil « particulièrement bas et produisant un effet de bascule, ce qui le surprit et même le déstabilisa ». Il raconte aussi comment il a trouvé le patron de l’OM humiliant à l’égard de ses joueurs, et cette phrase, à la sortie de son bureau : « Je vois bien que je ne vous ai pas convaincu… »
Tu parles. Il en aurait fallu plus. François Mitterrand lui-même n’a pas suffi. Le 14 juillet, « en direct, dans des conditions qui ne pouvaient que donner plus de solennité à son intervention, le président de la République exerçait une pression sur l’institution judiciaire  ».
Et ça, il n’aime pas, le procureur de la République ! Mitterrand et Tapie ne sont pas tombés sur le bon, voilà tout. Et Jacques Mellick non plus d’ailleurs. Le maire de Béthune, qu’il avait eu au téléphone pour lui expliquer le peu d’intérêt qu’il aurait à mépriser la convocation du juge Beffy, lui répondit : « Si vous saviez comme il est compliqué d’être le maire d’une ville en grande difficulté. » Éric de Montgolfier comprend cela. Et même le prix à payer pour les élus afin que des entreprises créent des emplois dans leur ville. « La petite phrase de Jacques Mellick m’a toujours laissé croire qu’en ce qui le concernait, le sien était celui du maintien de Testut, la société de Bernard Tapie… » S’il reste un regret à Éric de Montgolfier, aujourd’hui, c’est le peu de cas qu’a fait le monde du football de Jacques Glassmann, pour lequel il avait demandé une réhabilitation, lors de son réquisitoire. « Cela me fut publiquement promis. Mais chacun sait désormais que les promesses n’engagent que ceux qui les croient, au risque de ne plus jamais croire personne… »

1. – « Le Devoir de déplaire ». Éd. Michel Lafon. 19 E.
PAR ÉRIC DUSSART
"lavoixdessports.com"
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16 novembre 2006 4 16 /11 /novembre /2006 19:49

Francis Decourrière, président du VAFC depuis 2004.

Que représentent pour vous les retrouvailles entre Marseille et Valenciennes ?

D'abord, ce ne sont pas des vraies retrouvailles, parce que le match aura lieu à Marseille et non à Valenciennes. Si ça se passe bien dimanche, ça se passera bien au retour.

Ce match aura tout de même une forte valeur symbolique...

Pour les supporteurs, sûrement, mais pour nous, c'est juste un grand match, contre une grande équipe, dans un grand stade. Après nos déplacements à Lens [3-0] et à Lyon [2-1], les joueurs poursuivent leur apprentissage de la L1. L'affaire, c'est du passé. Que ce soit chez nous ou à l'OM, il ne reste personne de l'époque, sur le terrain ou chez les dirigeants.

Il n'y a même pas une petite envie de revanche ?

Mais quelle revanche ? Nous sommes dans un état de droit, les coupables ont été jugés, ils ont purgé leurs peines.

Quelle sera l'ambiance au Stade-Vélodrome ?

J'ai rencontré Pape Diouf [le président de l'OM] la semaine passée. Il m'a dit : « Il n'y aura aucun problème, vous serez bien accueillis. » Je pense qu'après l'incident contre Nice, où un pompier s'est fait arracher deux doigts, les supporteurs marseillais n'auront pas envie de faire n'importe quoi.

Et les supporteurs valenciennois ?

On a deux bus qui vont à Marseille, ils seront encadrés comme d'habitude. Cette affaire est vieille de treize ans, mais le souvenir est encore vivace dans la mémoire du public nordiste. On a fait un sondage en début de saison. Nos supporteurs sont beaucoup plus jeunes qu'à l'époque, mais paradoxalement, tout le monde est au courant. Je suppose que l'histoire s'est transmise de génération en génération.

Où étiez-vous le jour de VA-OM, en 1993 ?

J'étais dans les tribunes de Nungesser. Je venais d'être élu député européen et j'assistais au match comme spectateur. Je m'en rappelle très bien. Je me souviens aussi de tout le brouhaha qu'il y a eu à la sortie des vestiaires, mais je ne me rendais pas compte de ce que ça voulait dire. Ce n'est que bien plus tard qu'on a compris.

Quel a été le rôle de Jean-Louis Borloo lors de la traversée du désert qui a suivi l'affaire ?

Il nous a toujours soutenus, même quand le club a déposé le bilan. Il a d'ailleurs laissé beaucoup de son argent personnel dans l'histoire. Pendant des années, il a essayé de me convaincre de prendre la tête du club, et j'ai finalement craqué. Aujourd'hui, il est toujours président de l'association. Dimanche soir, ou lundi matin, je l'appellerai comme à chaque match pour lui raconter ce qui s'est passé.

En remontant en L1, le VAFC a-t-il effacé ce souvenir ?

C'est un tout. A l'époque, l'affaire arrivait en pleine crise industrielle. Aujourd'hui, les grandes entreprises reviennent dans le Valenciennois, la ville s'est dotée d'un tramway, on a inauguré le coeur de ville... La remontée du club, c'est la cerise sur le gâteau.

Recueilli par Antoine Maes

"20minutes.fr"


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Published by vafc - dans saison 2006-2007
15 novembre 2006 3 15 /11 /novembre /2006 12:33
À quatre jours des retrouvailles entre Valenciennes et Marseille, le président de l’OM dédramatise la situation. Selon lui, tous les Marseillais ont tourné la page de l’affaire.
– Pape Diouf, que faisiez-vous au moment où l’affaire a éclaté ?
« J’étais à Marseille, où j’ai toujours habité. Je m’occupais alors de mon agence qui gérait les intérêts de plusieurs joueurs pros. »
– Comment l’avez-vous vécue ?
« Je l’ai vécue comme tous les Marseillais, douloureusement. À l’époque, l’OM était à son apogée, cela semblait surréaliste. À vrai dire, j’étais plutôt incrédule au départ. Comme beaucoup, je croyais que c’était une affaire montée de toutes pièces. »
– Et lorsque tout s’est révélé véridique...
« Alors les ingrédients étaient réunis pour en faire un fait divers hors du commun qui n’avait plus rien à voir avec le football. »
– Aujourd’hui, par rapport à votre statut de dirigeant, est ce que vous en avez tiré des enseignements ?
« Je n’ai pas d’enseignements à tirer de cette affaire. Chacun mène sa barque comme il l’entend, les responsables de l’époque ont fait des bêtises et ont dû se justifier devant la justice, ils ont payé leur faute et il faut désormais tourner la page. »
– Est-ce que cela vous ennuie qu’on reparle à nouveau de cette histoire ?
« Les événements de 1993 font partie de l’histoire du club et du foot français, c’est comme cela, on ne la réécrira pas, mais cela fait depuis belle lurette qu’on n’en parle plus à Marseille où ce match n’est pas considéré comme un événement en tant que tel. Je ne vois pas l’intérêt de la ressasser aujourd’hui, mais bon, ce n’est pas la seule chose inintéressante sur laquelle se concentrent les médias. » – Selon vous, on parle donc trop de ce match ?
« Dans les médias oui. Pour vous dire la vérité, je n’ai pas entendu une seule fois des supporteurs aborder le match OM - VA comme une question vitale. Toutes proportions gardées, c’est comme si on parlait encore de retrouvailles ou de revanche lorsque des Français rencontrent des Allemands. » – Y a-t-il des consignes de sécurité particulières sur ce match, notamment en ce qui concerne l’accueil des supporteurs valenciennois ?
« Absolument pas. Je n’ai pas eu connaissance que nos fans réservent un accueil hostile aux Valenciennois. Ils réservent plutôt cela au PSG ou à Lyon. »
– Quelles sont vos relations avec les dirigeants valenciennois ?
« Elles sont très bonnes, il n’y a aucun contentieux entre nous. Le coach, Antoine Kombouaré, est aussi un ami. Je peux vous assurer que les Valenciennois seront bien accueillis, et leurs supporteurs qui veulent venir sont les bienvenus. »
– Vous devez bien vous douter que l’affaire VA - OM reviendra sur le tapis lors du match retour, le 14 avril ?
« Avec les médias, je ne suis pas dupe. Mais j’insiste, ici, à Marseille, ce match ne sent pas la poudre. Vous pouvez me faire confiance, ce ne sont pas des réponses de diplomate. »


 STÉPHANE CARPENTIER
"lavoixdessports.com"
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